La «mort» de Jean Prouvé
Présentation
Jean Prouvé s’est toujours dit « mort » en 1952, année où il fut chassé de l’usine qu’il avait créée à Maxéville-les-Nancy.
L’auteur a retracé les circonstances de cette rupture et défini les structures au sein desquelles il a travaillé dans les années qui ont suivi jusqu’en 1968, année de son installation comme ingénieur-conseil, rue des Blancs-Manteaux à Paris.
Cette période est d’autant plus cruciale que Prouvé, bien qu’amputé de son usine, réalise quelques-uns de ses plus beaux chefs d’œuvre, le pavillon du Centenaire de l’aluminium, la maison de l’abbé Pierre, la buvette d’Évian, les écoles de Villejuif, les façades du Cnit, Alpexpo à Grenoble…
Biographie
Bernard Marrey (1932) Historien de l’architecture et éditeur.
Table des matières
- La situation en France à la fin des années 1940
- Les Ateliers de Maxéville
- L'Aluminium français
- Les années de l'alliance
- La rupture
- Hors de l'usine
- Les Constructions Jean Prouvé
- La CIMT
- Ingénieur conseil
- Conclusion
- Index des noms cités